Exercez vos Compétences en Logique

L'article explore les attentes et les spéculations autour de GPT-4, le prochain modèle d'IA d'OpenAI. Sam Altman, PDG d'OpenAI, lève le voile sur quelques détails intrigants, précisant que GPT-4 ne sera pas une Intelligence Générale Artificielle (AGI), mais une IA multimodale capable de traiter du texte, des images et des sons. Cette avancée promet de nouvelles opportunités économiques, comparables à l'essor des plateformes mobiles. Altman évoque également la possibilité de modèles d'IA capables d'auto-apprentissage et d'amélioration continue. Toutefois, il insiste sur la prudence et la sécurité dans le déploiement de GPT-4, démentant les rumeurs sur un modèle doté de 100 trillions de paramètres. En somme, l'article met en lumière les potentialités et les défis de GPT-4, une technologie qui pourrait bien révolutionner le monde de l'IA.

La société de recherche en intelligence artificielle OpenAI a développé un modèle de langage, GPT-2, qui génère des textes tellement convaincants et cohérents qu'il est jugé trop dangereux pour être rendu public. Formé sur 40 gigaoctets de texte provenant d'Internet, GPT-2 peut imiter le style et le contenu des textes existants, créant ainsi des prolongations réalistes sur divers sujets. Cependant, ce potentiel pose également des risques d'abus, comme la génération de fausses nouvelles ou le harcèlement automatisé sur les réseaux sociaux. Confrontée à ces dangers, OpenAI a décidé de ne diffuser qu'une version réduite du modèle, éveillant des controverses au sein de la communauté de la recherche en intelligence artificielle. D'un côté, certains dénoncent un manque de transparence, tandis que d'autres saluent cette démarche éthique. OpenAI prévoit de réévaluer sa décision dans six mois et appelle les gouvernements à surveiller de manière systématique l'impact sociétal des technologies d'IA. Cette décision intervient alors que les préoccupations envers les menaces émergentes de l'intelligence artificielle, y compris la sécurité nationale, sont de plus en plus présentes.

L'ère des cookies tiers touche à sa fin, avec des navigateurs comme Firefox et Safari qui les bloquent déjà, et Google Chrome qui prévoit de les supprimer d'ici fin 2024. Cette évolution pose un défi majeur pour les marketeurs digitaux qui s'appuyaient depuis des années sur ces cookies pour le suivi des conversions, les rapports et l'optimisation des campagnes. Pour s'adapter à ce "futur sans cookies", les experts en marketing devront se tourner vers les données de première main, c'est-à-dire celles qu'ils collectent directement auprès de leurs utilisateurs via leur site web, leurs applications, les réseaux sociaux ou les enquêtes. Les données de première main offrent des avantages tels que des informations plus précises, une conformité aux lois sur la confidentialité, des coûts réduits et une meilleure relation de confiance avec les clients. Cet article explore en détail comment collecter ces données, les avantages de leur utilisation par rapport aux données de tiers, et introduit également le concept de données zéro-party, où les informations sont directement fournies par les utilisateurs sans intermédiaire. Enfin, il aborde l'importance cruciale pour les annonceurs de s'adapter à cette nouvelle réalité, notamment en utilisant des listes de correspondance client sur Google Ads et Facebook Ads. Bien que cette transition puisse sembler complexe, elle est essentielle pour la création de campagnes plus ciblées et efficaces. Découvrez pourquoi les données de première main représentent l'avenir du marketing digital et comment vous préparer à cette transformation incontournable.